• QUE FAIRE FACE AU REFUS DE SOIN

    Lorsque j'ai crée ce blog, l'objectif était d'échanger au maximum avec d'autres professionnels et aussi avec tout le monde.

    Aujourd'hui, je suis confrontée à une situation très délicate dans mon exercice professionnel, qui se présente à moi pour la première fois. Le refus CATEGORIQUE de soin.

    Exposé de la situation :

    Nous accueillons pour la seconde fois, un patient âgé de 72 ans suite à une intervention chirurgicale de la prostate. Au décours de la première hospitalisation ce patient ( très probablement atteint d'un cancer de la gorge) avait manifesté son désir de sortir rapidement du service ( il y était pour une décompensation cardiaque), nous avions accédé à sa demande , en accord avec sa fille, elle aussi infirmière et ce monsieur était rentré chez lui avec son cathéter sus pubien ( catheter qui remplace la sonde urinaire lorsque celle ci est impossible a poser et qui permet l'évacuation des urines).

    Deux jours plus tard, sa fille nous appelait pour nous signaler que son papa avait été réadmis à l'hôpital parce qu'il s'était pris "une cuite monumentale" et avait arraché son cathéter sus pubien.

    Apres quelques semaines d'hospitalisation en Urologie, il réintègre son service et accepte les soins et va meme jusqu'à accepter l'intervention chirurgicale pour la prostate qui va le libérer de sa sonde urinaire.

    Il revient dans notre service en post opératoire, (après une intervention qui s'est bien passé).

    Très rapidement ce patient évoque a nouveau son désir de retour à la maison, mais malheureusement son état respiratoire se dégrade, il développe des douleurs aigües au niveau costal. Et cette fois , il n'accepte plus aucun de nos soins, ne veut aucune exploration permettant d'identifier l'origine des douleurs.

    Ce monsieur nécessiterait actuellement une mise sous oxygènothérapie, des traitements anti douleurs, mais il refuse tout en bloc.

    Ce refus de soin est très difficile à gérer pour l'équipe de soin, tant médicale que paramédicale. Nous avons éssayé d'expliquer à ce patient, que nous respections sa décision de ne pas vouloir d'explorations, ni de soins lourds, que nous acceptions de poursuivre la prise en charge dans notre service et nous lui avons promis de ne pas le transférer quoiqu'il arrive ( nous sommes un service de soins de suite et de réadaptation) .

    Nous avons essayé de lui faire accepter les traitements pour la douleur et l'oxygène destinés à améliorer son confort, en vain ....

    Nous sommes complètement impuissant face à cette situation, d'autant que l'équipe est assez divisé quant à la conduite à adopter face à ce malade.

    Après discussion avec la fille celle ci a pris la décision de lui " accorder " le retour à la maison, mais pour certains membre de l'équipe c'est accepter sans rien dire le suicide d'un patient déprimé.

    Pour ma part, je suis tout a fait d'accord sur le fait qu'il faut accéder à sa demande de retour à domicile ( nous avons l'accord du médecin traitant, et la garantie d'un suivi à domicile) . Mais n'est ce pas une fuite en avant, je me pose la question et je vous la pose aussi ?

    J'aimerai discuter de ce type de prise en  charge avec d'autres personnes qui y ont déjà été confronté ?

    J'attends vos commentaires.

     


  • Commentaires

    1
    visiteur_Kris
    Lundi 11 Juin 2007 à 19:40
    Ch? Sandra,
    Le sujet est d'abord difficile. Comme tu le pr?ses, cela fait appel ?es convictions personnelles et comme pour les "soins de fin de vie", il faut savoir r?ir avec professionnalisme. Notre formation n?ssiterait d'?e renforc?pour que nous offrions un service plus adapt? Comme je te le disais en commentaire sur notre Blog, il faut savoir respecter le Dignit?l'autonomie et la libert?u patient. Conserver sa place de conseil et r?ndre ?os obligations d'assistance.
    Enfin, pour les consid?tions morales, je ne saurais t'en dire plus et partage ton approche consensuelle.
    2
    visiteur_mathilde
    Lundi 15 Octobre 2007 à 10:57
    bonjour! ?diante infirmi? en troisi? ann? j'ai choisi de travailler sur le refus de soin pour mon TFE... je cherche actuellement des documents, t?ignages, statistiques pouvant l?timer mon constat... sachant que je compte plutot me diriger vers "agressivit?t refus de soins" j'ai du mal ?oruver pour le moment..
    bonne continuation,
    3
    visiteur_Anne
    Dimanche 21 Septembre 2008 à 09:25
    Bonjour, je suis ?diante infirmi? en 3e ann??lement, et je travaille ?lement sur le refus de soins (de confort), chez les patients en soins palliatifs. Situation ?aquelle j'ai ? confront? Si vous avez des t?ignages, des r?rences bibliographiques, elles seront les bienvenues. merci
    4
    visiteur_maëlle
    Lundi 17 Novembre 2008 à 20:39
    bonjour! je suis ?ve infirmi? en 3i? ann?et je souhaite faire mon tfe sur l'infirmi? face au refus de soins du patient. donc si vous avez de la documentation, des sites s?eux sur le sujet, des stat,... toute aide est bienvenue. merci et bone continuation
    5
    julie1350
    Vendredi 3 Avril 2009 à 15:03
    Bonjour,

    Nous sommes 2 ?diantes en m?cine et nous faisons un m?ire sur le refus de soins en canc?logie. Nous aimerions beaucoup recueillir des t?ignages de personnes concern? par ce sujet. Si vous avez rencontr?es patients qui ont refus?es soins, que ce soit tous les soins ou juste un traitement particulier, vous pouvez nous laisser votre t?ignage.

    Est-ce que vous avez r?si ?es convaincre ? Comment l'?ipe soignante a t -elle ger?ela?
    Quelles ?ient vos relations avec les patients et leur famille? ...


    Merci.
    6
    toptribal
    Mardi 11 Mai 2010 à 11:27
    Bonjour,

    Je suis un homme de 53 ans, et après lecture de votre texte, je peux vous dire que je suis un défenseur du refus de soins quand le malade n'est pas respecté.
    Pour ma part, je refuse tous soins pratiqués par du personnel féminin pour des raisons de pudeur, car après deux AVC et un cancer j'ai vécu des situations lamentables relevant du pénal.

    De nos jours les malades sont considérés comme des objets humains qui rapportent de la monnaie.
    Face à un tel refus de soins le personnel que vous êtes doit le respecter à tout niveau sous peine que cela se passe très mal. Pour ma part je ne fais pas dans le détail si mes volontés ne sont pas respectées.
    7
    ec2742
    Mardi 7 Janvier 2014 à 10:36
    Bonjour, Vous trouverez ci dessous un mémoire que j'ai rédigé pour mes proches et au cas s'il m'arrivait un malheur. C'est ce que j'ai vécu en milieu hospitalier et ailleurs concernant le respect de la pudeur des patients, sans compter le reste...... A ce jour et depuis 2 ans, je refuse tous les soins, traitements qui me sont obligatoires à vie et même tous secours qui ces derniers ont été déjà évincés à plusieurs reprises malgré mon état de santé devenu pitoyable, mais ce n'est maintenant et à 57 ans sans plus aucunes importances pour moi, tellement que je suis écoeuré et traumatisé par de telles attitudes ! Merci à vous d'avoir bien voulu me lire... Erick _______________________________ POUR MEMOIRE & INFORMATIONS _______________________________ Ce présent mémoire, s’adresse à toutes celles et ceux, qui souhaitent éventuellement connaître les raisons pour lesquelles, j’ai pris la décision irrévocable de choisir à 57 ans, la manière dont mes prises en charge médicales seront dorénavant réalisées. ____________________ Afin de supprimer absolument toutes ambiguïtés vis-à-vis de mon entourage, qu’il soit administratif, familial ou autres…, après avoir été pourtant très « patient », malgré que perdure depuis déjà plusieurs années une telle situation, après également un tel vécu médical infâme et au vu de diverses prises en charge médicales totalement lamentables et aléatoires dont j’ai fait l’objet, c’est tout à fait sereinement et en toute conscience vis-à-vis de mon état de santé très aléatoire, que j’ai pris de telles directives. J’ai donc choisi de vous énumérer ci-dessous quelques exemples, afin de démontrer comment notre médecine de nos jours, prend en charge certains patients, que nous devenons tous un jour contre notre gré. Par conséquent, je souhaite simplement que vous compreniez les raisons réelles de mes choix, car en ce qui me concerne, je refuse catégoriquement que de quelconques et nouvelles prises en charge médicales me soient ainsi prodiguées. Dorénavant et tant que je serai en état de pouvoir m’exprimer, ou soit dans le cas d’un état d’inconscience et ce, par l’intermédiaire de ma personne de confiance qui détient des directives anticipées rédigées de ma main, je ferai donc valoir mes droits fondamentaux en la matière, ainsi que dans le cadre de l’article L 1111-4 du code de la santé publique. * En effet, un patient n’est nullement un simple morceau de viande sur un étal de boucher ! Voici donc ci-dessous quelques exemples corrélatifs à mon vécu et croyez moi, que j’en possède bien d’autres, qui ces derniers atteste fermement mon vif écœurement envers et contre ce corps médical parfois totalement hasardeux et absolument irrespectueux. A SAVOIR : Décembre 2004 – Après une admission en soins intensifs suite à des problèmes cardiologiques, une coronarographie par voie fémorale devait donc m’être réalisée sur ma propre personne sous anesthésie locale, totalement dévêtu sous une blouse, allongé pour les besoins de cet acte sur une table d’examen, cette blouse m’a été d’un seul coup enlevée pour l’accomplissement de cet acte. Après quoi, je suis resté sur cette table pendant un certain moment totalement dénudé et non recouvert partiellement. Je me suis donc retrouvé dans une telle posture devant une armada d’inconnus à savoir, 1 infirmier et 3 étudiantes, qui étaient placés en présence du médecin et bien entendu en expectative autour de ma personne totalement dénudée ? Malgré mes vives remarques au sujet d’une telle « exposition » qui correspond au non respect minimum de mon intimité corporelle, j’ai donc coopéré contre ma volonté, à une « vitrine érotique » et ce, sous aucune demande de consentement préalable auprès de ma personne ? Faisant l’objet d’une telle scène totalement méprisable, j’ai immédiatement demandé d’être au moins recouvert partiellement, et que l’ensemble de ces étudiants qui étaient en position statique autour de ma personne, quittent immédiatement cette salle d’examen. Aussitôt, le cardiologue chargé de réaliser cette coronarographie, m’a imploré sur un ton très affligeant et une arrogance indescriptible, de ne pas réagir à cette présence non sollicitée par ma personne et ce, du fait que l’examen venait d’être soit disant « engagé ? » Par conséquent, étant déjà pour ma part dans un état faible suite à ma pathologie, cet infirmier ainsi que ces 3 étudiantes jouissant de ma situation de faiblesse, sont tous restés en place contre ma volonté et à la demande du médecin et ce, en « admiration plénière » autour de ma personne et ce, malgré ma réaction légitime. Considérant donc, qu’un tel comportement était totalement insolent, humiliant, traumatisant et contraire aux droits du patient, en particulier ceux corrélatifs au respect de sa pudeur, de plus en présence d’étudiants, présence non consentie par le patient et au vu également à l’attitude lamentable et irrespectueuse de ce cardiologue, pour ma part étant très indigné, je me suis donc rapidement levé de la table d’examen en enlevant moi-même et fermement tous les raccordements qui m’avaient été préalablement installés pour cette intervention et ce, contre toute opposition du personnel soignant, qui pour ce dernier avait l’interdiction formelle de me toucher et de même m’approcher. Par la suite, je me suis moi-même et donc immédiatement recouvert le corps avec une sorte de drap situé auprès de la table d’examen, et par conséquent j’ai donc instantanément refusé toutes interventions sur ma personne et sur ce fait, quitté immédiatement la salle d’examen par mes propres moyens et ce, face à une vive opposition du personnel soignant, tout en repoussant de même et fermement toutes aides malgré mon état d’épuisement. Après quoi, j’ai quitté dans la foulée et par mes propres moyens, cet établissement méprisable après avoir vivement refusé de signer une quelconque décharge. Conclusion : Respect et droits du patient totalement bafoués, sans compter que le voyeurisme et l’érotisme hospitalier était bien de rigueur ce jour là ? Pire encore en août 2005. Celui relatif au comportement totalement répugnant d’une infirmière, à priori légèrement plus jeune que ma personne, qui pour cette dernière a été surprise par un cadre de santé, en train d’accomplir sur ma personne dénudée et imparfaitement couverte, un acte pleinement odieux. * Alors que j’étais encore plongé dans un sommeil provoqué par une anesthésie générale que je venais de subir suite à une petite intervention chirurgicale, placé pour ma part dans une petite salle de réveil entre un mur et un dispositif de séparation bien fermé, c’est donc à l’arrivée inopinée dans mon box d’un cadre de santé, que cette infirmière a été surprise penchée sur mon anatomie intime en train de réaliser un acte qui n’était aucunement placé dans le cadre médical. Bien entendu, une procédure a été engagée contre cette infirmière, et une suite très appropriée lui a été notifiée, afin qu’elle prennent la direction de pôle emploi, sans compter le reste… Comme vous pouvez le percevoir, l’abus en cette matière existe aussi envers et contre les patients masculins. Il est vrai n’est-ce pas, qu’il y a beaucoup moins de résistances pendant un tel sommeil, de plus dans un lieu discret dit « hospitalier ? » Par ailleurs, une telle situation ne m’étonne aucunement, car j’ai toujours été convaincu et je ne suis pas le seul, que certains membres du corps médical se prennent bien du plaisir visuel aussi bien qu’au niveau du toucher, sur la personne de certains patients, quand ces derniers sont plongés sous un état d’inconscience ? A mon réveil, j’ai donc pris connaissance par le cadre de santé qui ce dernier était totalement stupéfait, qu’un tel acte pestilentiel venait d’intervenir sur ma personne ensommeillée. Après quoi et dans une indescriptible exacerbation, couvert d’un simple drap fixé autour de ma taille, je me suis immédiatement et difficilement levé de mon lit, en arrachant dans mon exacerbation toutes les connexions, perfusions, etc., et ce, contre toutes entraves du personnel soignant qui avait de ma part l’interdiction formelle de m’approcher. J’ai donc de nouveau et par la suite quitté immédiatement la salle de réveil dans les conditions que je laisse à chacun imaginé et ce, pour regagner par mes propres moyens et à pied ma chambre située au deuxième étage. Bien entendu et à la demande de son cadre de santé, cette infirmière avait entre-temps quitter la salle de réveil, car cela valait mieux pour elle ! Pour sa part, étant complètement bouleversé à la vue d’un tel acte réalisé devant ses yeux par une de ses collaboratrices, ce cadre de santé était lui-même très en colère, considérant d’être le responsable direct d’une telle situation au sein de son service. 1 – 10 … Pour ma part totalement effaré, exacerbé et au vu donc d’une telle saga ignominieuse de cette infirmière, qui cette dernière m’a apporté un traumatisme sans précédent, et donc une nouvelle et grave atteinte non seulement à ma propre intimité, mais également à ma dignité, ainsi qu’au respect de ma pudeur, dans un état « d’écoeurement absolu », j’ai donc par la suite, malgré l’opposition du personnel soignant et après avoir récupérer dans ma chambre tous mes effets vestimentaires et autres objets, pris la décision de quitter immédiatement et par mes propres moyens cet établissement haïssable, en refusant tous soins et toutes transmissions de dossiers, mais également de signer une quelconque décharge. Ces faits intolérables m’ont donc permis en effet, de pouvoir constater sur le vif, qu’il existe de telles pratiques ignobles au sein même d’établissements hospitaliers, qui ces dernières me sont dorénavant et psychiquement toujours imprégnées en mon esprit, pratiques exécutées sans aucuns scrupules par certains membres du corps médical, en particulier par cette piteuse infirmière, qui aurai plutôt fait l’affaire au sein d’un bordel plutôt que dans un hôpital ! Conclusion : Par des directives anticipées de 6 pages que j’ai rédigé et remises à ma personne de confiance, directives qui restent à la disposition de certains de mes proches, le corps médical féminin dans son ensemble, n’a plus aucuns consentement de ma part pour intervenir sur ma personne quelque soit mon état de santé, ainsi que pour tout type d’intervention médicales y compris en extrême urgence. Février 2007 – Avec une partie du poignet gauche qui présenter à priori une fracture suite à une mauvaise chute, je demande par téléphone d’être pris en charge en urgence auprès de la clinique la plus proche. Je suis donc dirigé par téléphone sur le service concerné. En précisant que j’avais de vives douleurs au poignet gauche qui était devenu en partie tout violet, le secrétariat de ce service me précise qu’il ne pouvait me recevoir que dans huit jours ? Après avoir vivement protester au vu d’une telle aberration, un rendez-vous m’est enfin accordé uniquement en consultation externe et ce, seulement pour le lendemain matin. Je me présente donc à 9H15, heure de mon rendez-vous. Après plus d’une heure d’attente, je constate sur place que les patients qui arrivaient bien après moi étaient tous reçus avant moi par le médecin ? Etant encore pour ma part présent dans la salle d’attente à 10h30 et ce, avec toujours de vives douleurs au poignet et en présence de mon épouse, ne comprenant pas la situation, j’ai sollicité quelques explications auprès du secrétariat de ce médecin. Une des secrétaires me renseigne en me précisant : Qu’elle était absolument désolée pour m’avoir simplement oublié sur son agenda ? Après quoi, j’ai donc immédiatement affirmer de nouveau mon vif mécontentement et quitter immédiatement ce service abject ! Sur ce fait, je me suis donc dirigé directement sur une autre clinique située sur la commune de Muret (31), située à environ 60 Kms et ce, afin d’être pris en charge aux urgences par un autre spécialiste. Au vu du diagnostic réalisé par ce spécialiste, je devais rapidement faire l’objet par la suite d’une intervention chirurgicale orthopédique. Ce médecin m’informe donc qu’il fallait que j’envisage le paiement d’un dépassement d’honoraires, qui ce dernier a été promptement refusé par ma personne, ne pouvant faire face financièrement au montant sollicité par ce médecin. Après avoir fait connaître mes droits relatifs à l’accès aux soins, ce médecin m’a enfin et à contre cœur pris en charge, disons sous une certaine tension… Conclusion : Tel est ce cas, pour soigner une fracture, préparer plutôt votre carte bancaire avant votre carte vitale ? Juillet 2007 – Après avoir passé un scanner cérébral, on m’a donc demandé de revenir dans la soirée chercher mes résultats, ne pouvant les obtenir immédiatement suite à un problème informatique. Après m’être présenté dans la soirée au bureau du scanner, on m’a de nouveau demandé de patienter. Après avoir donc patienter trois quarts d’heure, la secrétaire me précise par enchantement, que mes résultats avaient été transmis dans un autre établissement de santé situé en centre ville. Pourquoi, allez savoir ? Très irrité et au vu de cette nouvelle attente sans objet, je décide donc de me rendre sur les lieux qui m’avaient été indiqués. Surprise à mon arrivée, mes résultats étaient toujours en « randonnée », sans que je puisse de plus en connaître le lieu exact de leur instance ? Conclusion : Mon dossier médical ayant été intégralement perdu, ce suivi médical a été purement et simplement abandonné. Donc, autant rester chez soi ! Avril 2009 – Suite à deux accidents vasculaires cérébraux intervenus en 2004 et 2005, un rendez vous m’a été prescrit sur Toulouse par mon professeur en neurologie et ce, pour des examens pneumologiques complémentaires et complets, en vue d’une éventuelle intervention chirurgicale ciblée au niveau cardiaque, intervention considérée comme importante et qui comporter certes certains risques. Ne pouvant à l’époque prendre aucuns risques à conduire mon propre véhicule, j’ai donc été à la demande du médecin pris en charge ‘assis’ par un véhicule de transport sanitaire et ce, de mon domicile à l’hôpital Larrey situé sur Toulouse (95 Kms) Arrivé donc sur place un samedi matin à 10h00, je constate en présence de l’ambulancière, que le service de consultations en pneumologie était totalement fermé ? Ce service en effet, ne travaillait pas le samedi ? On croît rêver ? Par conséquent, étant parfaitement et à nouveau écoeuré au vu d’un tel rendez-vous relevant d’un ridicule sans précédent, et pour lequel j’avais patienté plus d’un mois, nous avons donc tout deux, c'est-à-dire moi-même et l’ambulancière, repris immédiatement le chemin inverse en direction de mon domicile. Donc 190 Kms pour rien au frais de la sécu, donc indirectement aux frais de ceux qui cotisent ? Dans une vive colère et après avoir demandé des explications auprès de mon professeur qui ce dernier a reconnu cette lamentable erreur, ainsi que le directeur de l’hôpital, la seule conclusion que j’ai obtenu suite à ce rendez-vous hypothétique, était celle que : « c’était la faute à personne ? » Comme c’est bien connu dans ce milieu hospitalier, tout ce petit monde se protège mutuellement ? Malgré toutes mes réclamations, démarches, etc., réalisées sur deux mois, il m’a été donc impossible de connaître le réel responsable de ce folklore médical ? Depuis cette date et à ce sujet, j’ai donc procédé à l’annulation immédiate et définitive de l’intervention chirurgicale et donc à l’abandon total d’une telle intervention, étant pour ma part complètement fasciné par un tel merdier médico administratif. Conclusion : Nous sommes vraiment qu’un simple numéro sur une carte verte très rentable ? De plus et au vu du trajet aller et retour d’un tel véhicule, j’avoue qu’il ne faut plus s’étonner sur le déficit de la sécu ? Août 2010 – Mon médecin traitant de l’époque, m’adresse auprès d’un médecin acupuncteur, pour des séances d’acupuncture concernant de vives douleurs récurrentes au niveau du rachis dorsal, douleurs déjà présentes depuis de nombreuses années. Je me présente donc à l’heure de mon rendez-vous, qui ce dernier m’a été accordé par le médecin acupuncteur lui-même, c’est à dire le matin à 9H15. Après avoir patienter en salle d’attente plus d’une demi heure, deux autres personnes se présentent dans cette salle d’attente. Au moment ou le médecin se présente, je me lève afin de le suivre, mais ce dernier et à mon plus grand étonnement s’adresse directement à ces deux personnes en les tutoyant et en leur demandant de bien vouloir le suivre. Naturellement, je précise donc et de suite au médecin, que j’étais présent dans la salle d’attente avant ces deux personnes. Le médecin me précise promptement, qu’il me prendra en charge dans environ dix minutes ? Trouvant cette situation quelque part surprenante je patiente donc un peu plus. Après plus d’une demi heure d’attente supplémentaire, je n’ai plus jamais revu ce médecin ? 2 – 10 … Sous un réel sentiment d’être un pestiféré, j’ai donc décidé de quitter son cabinet sans bien entendu le prévenir. Conclusion : Nous sommes non seulement qu’un simple numéro sur une carte verte très rentable, mais de plus nous sommes considérés comme de pauvres demeurés, de plus à la disposition de ces chers médecins, alors que normalement cela devrai être le contraire…, enfin je le pense ? Octobre 2011 – Après divers problèmes respiratoires qui me sont intervenus brusquement et à plusieurs reprises, le SMUR est intervenu à mon domicile suite à un problème pulmonaire beaucoup plus alarmant. Ayant de réelles inquiétudes sur mon état à priori d’origine cardiaque, le SMUR m’évacue très rapidement sur les urgences de l’hôpital. A mon arrivée aux urgences à midi précise et en présence de mon épouse, je suis donc pris en charge par un médecin urgentiste, qui me précise qu’au vu de mon état préoccupant, il avait prévenu le cardiologue de permanence, afin que ce dernier puisse venir me voir. Après quatre heures d’attente aux service des urgences, service tout à fait calme et fluide à ce moment précis et malgré mon état soit disant « préoccupant », après avoir était prévenus par le médecin urgentiste, nous constatons en effet mon épouse et moi-même, qu’un cardiologue se présente enfin dans le box situé à côté du mien et ce, auprès d’une personne âgée. Nous comprenons de suite que ce cardiologue allait enfin et par la suite, venir quand même me rendre visite ? Un quart d’heure après son arrivée, nous constatons que ce cardiologue quitte le service des urgences sans pour autant venir me rendre visite et ce, à la plus grande surprise du médecin urgentiste. Ce dernier rappelle donc promptement son confrère cardiologue, mais en vain ? Au vu d’une telle situation, le médecin urgentiste revient donc aussitôt à ma rencontre pour simplement me préciser, qu’il va falloir malheureusement que je patiente encore, et qu’il n’avait plus trop la maîtrise de la situation au vu du comportement de ce cardiologue qui n’était absolument pas placé sous un état d’urgence au profit d’un autre patient ? Donc suite à cette affirmation, exaspéré d’être à nouveau considéré comme un simple objet, conscient toutefois que mon état de santé était très faible et aléatoire, je décide immédiatement de quitter à 16h15 mon box et ce, à la plus grande stupéfaction du personnel médical présent, que j’ai refoulé de mon box sans discernement et ce, après avoir une nouvelle fois et par mes propres moyens, débrancher tous les appareillages de surveillance, perfusion, etc… Le bras sanguinolent, très fatigué, dans un état second et toujours essoufflé, j’ai demandé fermement à mon épouse de me ramené avec notre véhicule directement à notre domicile, tout en refusant la remise de quelconques documents à ma sortie. Après quoi, mon épouse a reçu un coup de téléphone du médecin urgentiste, reconnaissant que ma prise en charge n’avait pas été en effet normale et optimisée, situation que le médecin urgentiste a confirmé par la suite et par courrier postal. Par la suite et par téléphone, ce médecin urgentiste a donc proposé à mon épouse que j’aille immédiatement revoir en ville un autre cardiologue au vu de mon état jugé très délicat, proposition qui m’a été également confirmée par la suite et par courrier postal. * A quoi bon donc, d’appeler le SMUR, d’être évacué en toute urgence par un tel service, pour ensuite patienter quatre heures dans un box de plus négligé et ce, pour constater simplement qu’un cardiologue arrive donc quatre heures après mon arrivée, soit disant averti en toute urgence et constater par la suite, que ce cardiologue quitte le service tranquillement sans qu’il prenne au moins la précaution de venir me rendre visite dans mon box un seul instant ??? A la demande donc de ce médecin urgentiste et fort de posséder pour ma part un document justificatif écrit, afin que je rencontre le plus rapidement possible un autre cardiologue, je fais donc encore l’effort de m’adresser à un autre cardiologue situé en ville. A ma plus grande stupéfaction et malgré les informations que j’avais transmises à la secrétaire de ce cardiologue suite à cet épisode hospitalier, il m’a été impossible d’obtenir un rendez-vous avant un mois ? Après quoi, je m’adresse à mon médecin traitant de l’époque, afin qu’il intervienne directement auprès d’un quelconque cardiologue et ce, afin qu’il réduise ce délai inimaginable au vu du diagnostic ainsi établi aux urgences. Avec étonnement et restant par la suite sans aucunes nouvelles de mon médecin traitant, mon épouse souhaite en savoir plus. Après qu’elle se soit renseignée, mon médecin traitant avait en effet et certes obtenu un délai raisonnable auprès d’un cardiologue, mais le secrétariat de mon médecin traitant possédait soit disant un numéro de téléphone erroné et par conséquent la secrétaire de mon médecin traitant s’est trouvée dans l’impossibilité de me contacter directement, afin de me confirmer ce nouveau rendez-vous. Très difficile à croire ce genre de propos, quand nous savons que ce secrétariat possédait également le numéro de téléphone de mon épouse, sachant que mon médecin traitant était le même que celui de mon épouse, étant lui-même un ami de longue date à cette dernière ??? Par conséquent, le rendez vous qui avait été accordé par un cardiologue à mon médecin traitant sous un délai de quatre jours, n’a pu donc être naturellement honoré par mes soins, sur le seul fait que je n’étais pas pour ma part informé ? Néanmoins, je suis fort d’avoir constater, qu’un patient qui souhaite prendre lui-même et directement un rendez-vous y compris avec une ordonnance en main d’un médecin urgentiste, se voit de l’obtenir au bout d’un mois ou plus, mais quand c’est un médecin généraliste qui appelle directement un cardiologue, ce dernier l’obtient de suite. Il faut avouer que cela est très surprenant n’est-ce pas ? Sur ce fait et totalement écoeuré, je prends la décision de ne plus être suivi via ce cabinet médical, qui depuis un moment présentait quelques difficultés d’organisation et autres, et ce n’est pas terminé ! Au vu donc d’un tel folklore cardiologique, je choisi donc de changer de médecin traitant. Je contacte donc un autre médecin généraliste à qui j’explique cette saga médicale dont je venais de faire l’objet. Après quoi il accepte de me prendre en charge. Ce dernier procède donc par la suite de reprendre un nouveau rendez-vous auprès d’un autre cardiologue, afin que je sois examiné le plus rapidement possible, ainsi que pour réaliser une épreuve d’effort. Ce nouveau médecin traitant me précise entre autre, que sa propre fille travaille au secrétariat de ce cabinet cardiologique et par conséquent, il pourra normalement obtenir un rendez vous dans un délai beaucoup plus raisonnable. Là aussi, quand il existe en effet certaines relations, il n’y a plus de problèmes de planning ? Ce qui prouve bien que certains patients sont placés en début de liste au bon vouloir de certains ? Pour les autres, c’est sans aucunes importances ? Je me présente donc à ce nouveau rendez vous, afin d’effectuer dans un premier temps des examens traditionnels. Après quoi le cardiologue m’installe pour 24 h un holter. Je reviens donc le lendemain afin de me faire enlever le holter, mais à peine arrivé au cabinet de ce cardiologue et malgré l’urgence de ma pathologie citée par le médecin urgentiste de l’hôpital, la secrétaire m’informe au comptoir d’accueil et à l’heure même de ma consultation, que je suis à nouveau dans l’obligation de patienter un mois de plus pour mon épreuve d’effort qui était pourtant programmée deux jours après ? Exténué au vu d’un tel foutoir médical avéré, je décide donc de quitter une nouvelle fois et sur le champ ce cabinet cardiologique, en abandonnant le holter sur le comptoir d’accueil et ce, sans vouloir en connaître de quelconques résultats. Dans la foulée, j’ai donc et définitivement abandonné tout examen cardiologique, à savoir donc qu’à ce jour, je reste toujours avec mes problèmes respiratoires et mes douleurs thoraciques. 3 – 10 … Après quoi de nouveaux épisodes respiratoires sont intervenus, dont un en particulier a fait l’objet d’une intervention des pompiers qui ont été appelés par une de mes filles. Malgré mon état et ma réelle exaspération, les pompiers et le Smur ont repris le chemin inverse mais à vide et ce, suite à mon refus catégorique d’être de nouveau pris en charge au sein de ce piteux service des urgences et au vu de mon pitoyable vécu dans ce service, sans compter le reste… ! J’ai donc précisé à mon nouveau médecin traitant, lui-même ébahi et très gêné par cette nouvelle situation aberrante que lui-même a reconnu sous aucune difficulté, que je souhaitais ne plus être suivi en la matière. Au vu d’une telle situation, il appelle immédiatement et par téléphone le cabinet cardiologique où soit disant sa fille était elle-même secrétaire. A sa plus grande surprise, il s’est avéré que j’avais était reçu non pas par sa fille, mais simplement par une de ses collègues située au premier étage de ce cabinet, qui cette dernière avait modifié son agenda pour soit disant arranger par enchantement un autre patient ? Etant totalement et pour ma part excédé par de telles prises en charge cardiologiques dignes d’un manège de marionnettes, je demande fermement à mon médecin traitant de tout abandonner ? Conclusion : Dans un tel cas piteux de prise en charge pour une pathologie dite « délicate », je n’ai sincèrement et également plus de mots pour qualifier une telle situation médicalement débile. Fin juin 2012 – Avec toujours mes problèmes respiratoires et le reste…, ayant donc mis fin à tout suivi cardiologique, je demande donc à mon médecin traitant de me prendre dorénavant et uniquement en charge pour mes problèmes de rachis provenant d’une scoliose, d’une arthrose étagée et divers autres problèmes liés à mes disques vertébraux, douleurs vives et récurrentes qui perdure maintenant depuis plus de 15 ans et qui s’aggravent de plus en plus au fil de l’âge. Il me propose donc des séances de mésothérapie étant lui-même médecin méso thérapeute. J’accepte donc trois séances de mésothérapie étalées sur deux semaines. Disons que les deux premières séances m’ont apaisé plus ou moins les douleurs que seulement quelques heures, mais pour la troisième séance, cette dernière n’a été qu’un échec total. Après de nouvelles et très vives douleurs jusqu’à dans le bas ventre, très fatigué je décide donc de revoir à nouveau mon médecin traitant, qui me propose au vu de son diagnostic, de m’adresser auprès d’un ostéopathe qu’il connaît également très bien. Je rencontre donc et uniquement courant juillet 2012 cet ostéopathe. Dans les trois jours qui ont suivi cette séance, je ressens de nouvelles et très vives douleurs sur tout le côté gauche, douleurs que je n’avais pas auparavant à cet endroit, mais également des douleurs sur le côté droit, douleurs tellement vives que je suis réduit à ne plus pouvoir me déplacer normalement ? Convaincu que cette situation était « normale » au vu des manipulations dont je venais de faire l’objet via l’ostéopathe, j’ai donc patienter une semaine de plus dans un tel état, en me gavant de substances anti-douleurs que je possédait. Constatant que ces douleurs étaient de plus en plus insupportables, je décide donc de revoir de nouveau mon médecin traitant. Je lui indique que la séance d’ostéopathie a été à priori et pour moi un total échec sur le fait, que mes douleurs étaient encore plus nombreuses et encore plus vives. Je lui précise que je calme avec beaucoup de difficultés mes douleurs par la prise de 7 à 8 comprimés de Doliprane 1000 mg par jour, ainsi que par le port sur la poitrine d’un corset « chauffant » que mon épouse m’avait élaboré et que je portais en permanence de jour et parfois la nuit. Il m’indique que le Doliprane est un médicament toxique à haute dose, et qu’il fallait que je réduise les doses si je ne voulais pas avoir de problèmes au niveau du foie ? Après lui avoir apporté des clichés radiographiques très récents de mon rachis, ainsi que le compte rendu corrélatif à ces clichés, qui ces derniers présenter diverses anomalies qui devaient être absolument traitées, sans se lever de sa chaise pendant toute la durée de ma consultation, mon médecin traitant qui me paraissait ce jour là plutôt bizarre, me précise tout simplement, qu’il n’avait pour moi plus aucunes solutions en dehors éventuellement de réaliser une cure thermale non remboursée et ce, sans pour autant avoir eu la moindre initiative de lire le compte-rendu de mes clichés radiographiques, ni même avoir au moins regardé les clichés de mon rachis qu’il avait posé non loin de son bureau ??? Aux tarifs que sont ces cures thermales, je l’informe que ces dernières ne me sont en aucun cas réservées au vu de mes revenus insuffisants. En dehors de cela et malgré mes sollicitations, je n’ai obtenu aucunes autres propositions de sa part, pour aller éventuellement consulter un spécialiste corrélatif aux pathologies du dos ou un rhumatologue, spécialistes que l’on m’a jamais proposé pendant toutes ces années de souffrances, et que je n’ai pu aller rencontrer de moi-même pour des raisons financières. Par conséquent et sans aucun doute, je reste donc grâce à cette séance d’ostéopathie, avec des douleurs dorsales encore plus insupportables et qui m’apportent dorénavant un handicap encore plus sérieux, au point où je suis pour exemple et dorénavant dans l’obligation de m’asseoir très souvent au terme d’environ un quart d’heure en position statique ? Après quoi et de nouveau surpris par l’attitude de mon nouveau médecin traitant, je décide de quitter son cabinet en lui présentant immédiatement ma nouvelle carte vitale toute neuve. Il me précise dans la foulée et de plus, que comme d’habitude ma carte vitale ne fonctionne pas et ce, malgré une mise à jour effectuée 4 jours auparavant en pharmacie ? Il me précise également, qu’il me tiendra éventuellement informé, afin que la consultation lui soit surtout payée, car étant pour ma part enregistré auprès de la RAM, cela ne lui plaisait pas sur le fait que les paiements ne lui arrivaient pas en temps et en heure via cet organisme ? Je pense que pour lui, le paiement de ma consultation était plus important que mon état de santé ? Après seulement cinq consultations réalisées auprès de ce médecin traitant, j’étais donc absolument convaincu qu’il n’y avait plus aucun dialogue possible entre patient – médecin et donc plus aucune confiance. Au vu donc d’une telle situation, j’ai donc pris la décision de ne plus revoir ce médecin traitant, où le mot traitant me reste vraiment en travers de la gorge. Conclusion : A quoi bon donc avoir un médecin « traitant », pour savoir simplement, qu’il n’y a plus aucunes solutions pour traiter des douleurs, alors que des textes législatifs obligent normalement les médecins à tout mettre en œuvre pour au moins traiter la douleur, sans compter que le côté financier prime avant tout le reste ? Depuis février 2012, je ne compte pas, que j’ai de plus changé par obligation de caisse d’assurance maladie et ce, au vu de ma situation professionnelle située dans le cadre des travailleurs indépendants et des professions libérales. Donc dorénavant, je suis affilié désormais auprès de la RAM - RSI. Il faut savoir qu’à mon arrivée dans cette piteuse caisse d’assurance maladie, il a fallu : - Déclarer je ne sais combien de fois mon médecin traitant qui ce dernier et pour l’époque, était toujours le même ? - Refaire une nouvelle carte vitale, qui par ailleurs n’a jamais fonctionné ? - Le comble est que mon protocole de prise en charge à (100%), pour longue maladie suite à mes deux accidents vasculaires, cancers et divers problèmes cardiaques, a été purement et simplement annulé sans aucuns préavis, sous prétexte de mon changement de caisse, alors que mon protocole de soins était encore valable jusqu’à fin janvier 2014 ? - La cerise sur le gâteau a été que la carte vitale d’une de mes belles filles, était également à refaire, alors que cette carte vitale venait de lui être délivrée au vu de ses 16 ans, c’est-à-dire deux semaines auparavant ? 4 – 10 … Bref, si vous changez de caisse d’assurance maladie, votre statut médico-administratif est strictement annulé sans aucunes informations préalable, comme de même vous n’êtes plus considérés comme étant en longue maladie ??? Donc et par pure magie, vos longues maladies ont intégralement disparues sur la simple signature d’un guignol du RSI ? Malgré avoir envoyé durant trois mois et à plusieurs reprises les mêmes documents concernant mon dossier d’inscription au RSI, (preuves écrites à l’appui), ce RSI n’a jamais été capable d’assimiler ma réelle situation médicale que j’avais auprès de la CPAM et auprès de laquelle je n’ai jamais eu de problèmes particuliers, comme je suis resté longtemps dans l’attente de mes remboursements RSI au vu de mes premières consultations médicales sous un tel statut. Conclusion : C’est vraiment en toute franchise, que je n’ai de nouveau aucuns mots pour qualifier ce folklore médico administratif manifeste, ignoble et qui reflète très bien cette mentalité Française totalement aliénée. Voici encore une usine à gaz supplémentaire nommée (RAM-RSI), tout en sachant que bientôt, nous allons peut-être devoir remplir un formulaire pour obtenir à chaque fois l’autorisation de pouvoir aller pisser ? Début mars 2013, j’ai donc contacté au hasard un nouveau médecin généraliste dit (référent) J’ai donc rencontré pour la première fois ce médecin en date du 7 mars 2013, et j’avoue en toute honnêteté que j’ai été vivement abasourdi par le désordre, l’hygiène et le manque d’intimité qui régner au sein de son cabinet, et pourtant je ne suis pas du genre d’être pointilleux à ce sujet, mais il y a quand même au sein d’un cabinet médical des limites à ne pas dépasser ? Bref, j’avoue sincèrement que je n’ai vraiment pas de réussite à ce sujet ! Au vu donc de mes divers constats et pour vous donner juste un aperçu global corrélatif à mes « surprises », voici donc quelques aspects relevés par ma personne au sein du cabinet de ce nouveau médecin généraliste, à savoir : - Sur l’ensemble de son bureau et autres mobiliers, étaient présents en vrac, dans tous les sens et sur environ 10 à 30 cm d’épaisseur : Divers documents, lettres, comptes rendu médicaux, livres, revues, publicités, etc… sans compter de nombreux et divers objets envahis de poussières, comme un vieil ordinateur hors d’usage, bref vous ne pouviez même plus y mettre les mains. C’était absolument dégueulasse ? - A même le sol, autour de son bureau ainsi que dans son couloir, étaient présents divers journaux, courriers et autres papiers sur lesquels nous étions obligés de marcher dessus pour avoir accès à la salle d’examen ? Il y avait tellement de papiers sur son bureau que ces derniers se retrouvaient à terre, et ce n’est pas pour autant que sa secrétaire faisait le nécessaire pour les ramasser ??? - Vous pouviez également contemplé sans aucunes difficultés, à volonté et sur un grand écran informatique placé face à vous, contre un mur et à vos côtés, des résultats d’analyses concernant d’autres patients, résultats à priori transmis directement par un laboratoire ? - Dans la pièce servant aux examens des patients, l’hygiène était déplorable, diverses boîtes de médicaments ouvertes et mélangées, divers matériels et objets médicaux étaient à même le sol, la table d’examen ne possédait aucun rouleau de papier, comme elle n’était à priori et au vu de son état jamais nettoyée au passage de chaque patient ? Je ne comptais pas non plus, le contenu des diverses armoires médicales présentes dans cette pièce toutes portes ouvertes, qui ressembler à un infâme bazar indescriptible ? - De même, le respect de l’intimité du patient dans cette salle d’examen était totalement absent sur le seul fait, que les fenêtres de cette salle d’examen munis de vieux rideaux qui ces derniers étaient ouverts, faisaient face à d’autres fenêtres plongeantes de la maison du voisin située juste à côté. Ce voisin possédait donc la possibilité de contempler depuis ses fenêtres, tout ce qui se passer dans cette salle d’examen, sans compter que la porte d’entrée de cette salle d’examen restait perpétuellement grande ouverte, donc à la vue des allers et venues de sa secrétaire ? - A ma première consultation, ce médecin à procéder à ma prise de poids et de hauteur. Dans une petite tenue, je me suis donc trouver dans l’obligation d’enjamber des piles de cartons et de documents qui étaient au sol pour simplement avoir accès à la balance, mais également à la règle de mesure située sur un mur. Génial ? - Ce médecin possédait aussi divers appareillages de mesures médicales, machines qui étaient dans un état déplorable, et je ne vous parle pas de l’état du lavabo présent dans cette pièce, y compris l’état des éclairages néons qui étaient détériorés ? - Lors de ma première consultation, ce médecin m’a fait faire un test de souffle et ce, à l’aide d’un spiromètre muni d’un embout « jetable ». Après le test, ce médecin s’est simplement contenté devant moi, de passer promptement l’embout sous le robinet de son lavabo, afin de pouvoir sans aucun doute, s’en servir à nouveau sur un autre patient, ayant remis cet embout à l’intérieur de son emballage ? - Au moment de se dévêtir, je devais effectuer cette tâche juste à l’angle de la porte d’entrée de la pièce d’examen située au bout d’un couloir, à savoir à la vue de sa secrétaire qui se trouvait face à cette entrée, et à environ 4 mètres. Ayant moi-même, par réflexe et par pudeur refermé la porte derrière moi et ce, à mon entrée dans cette salle d’examen, où par ailleurs divers objets qui étaient présents derrière cette porte sont tombés en manipulant cette porte, ce médecin m’a demandé sur un ton affligeant, de laisser cette porte ouverte, car il transférait à sa secrétaire, à distance, à haute voix et bien entendu à l’écoute des patients qui pouvaient être éventuellement présents en salle d’attente, toutes les informations médicales corrélatives à l’examen réalisé sur ma personne. Où est situé le secret médical et le respect de la pudeur au vu d’une telle situation ? C’est absolument et pour moi, du jamais vu ? - Toutes les informations médicales étaient ensuite enregistrées sommairement et par écrit uniquement sur la couverture d’une simple sous chemise en papier, où à l’intérieur se trouvait donc les divers documents relatif à mon « dossier médical », dossier qui se retrouvait par la suite et en instance au sein de toutes ces piles de papiers empilées dans tous les sens, sans compter que mes radiographies étaient simplement observées par ce médecin sur une simple petite fenêtre située face à son bureau et juste derrière la porte de la salle d’attente et bien entendu, toujours en présence de sa secrétaire ??? - En fin de consultation, c’est aussi la secrétaire qui rédigeait les ordonnances à la demande du médecin, en sachant que cette secrétaire était en permanence assise à son bureau à côté de lui et ce, y compris lors des interrogatoires médicaux, présence que je désapprouve fermement, surtout quand il y avait des questions disons plus intimes énumérées entre moi-même et ce médecin, comme par exemple des rapports extra conjugaux que j’aurai pu éventuellement avoir eu dans le passé et ce, dans le cadre d’un bilan sanguin relatif au test VIH, qui devait être réalisé sur ma personne suite à une très importante déficience immunitaire, qui cette dernière et après analyse s’était avéré négative par rapport au VIH ??? - Pour clôturer ce chapitre, ce médecin refusait également la carte vitale, et j’étais donc placé dans une attente de 10 à 15 jours pour obtenir à chacune de mes consultations mes remboursements de ma caisse RAM ? Conclusion : Autant vous dire qu’en ce qui me concerne, je ne souhaitais plus revoir un tel praticien et ce, au vu des méthodes qu’il utilisait et au vu d’un tel foutoir qui régner au sein de ce cabinet soit disant « médical », qui à vrai dire m’a amplement stupéfait ? 5 – 10 … Au vu donc d’une telle situation et sous la pression légitime de mon épouse, à compter donc d’avril 2013 jusqu’en début septembre 2013, j’ai donc recherché un nouveau médecin traitant, mais en vain. En effet et après avoir contacté par courrier de très nombreux médecins généralistes (38 au total – record absolu), qui ces derniers n’étaient en aucuns cas informés de mon vécu médical, 35 n’ont même pas eu la correction de me répondre y compris par la négative ? Toutefois et pour les trois qui m’on répondu soit par courrier ou par téléphone, deux étaient pour leur part sur le point de partir à la retraite et pour le dernier, lui avait déjà trop de patients. Bref nous pouvons crever dans notre trou ? N’ayant donc plus aucunes possibilités sur mon secteur d’obtenir un nouveau médecin « référent » sur un rayon de 30 Kms, j’ai donc abandonné toutes recherches. Malgré mon état de santé aléatoire, étant dans donc dans l’impossibilité d’obtenir de quelconques ordonnances, je suis donc actuellement dans l'incapacité totale de reprendre éventuellement mes traitements obligatoires. J’ai donc mis fin par obligation, à tous mes traitements, y compris mon traitement anti-coagulant, qui ce dernier m’avait était prescrit depuis 2004 et à vie. (préviscan 20mg) J’ai du également mettre fin, à toutes mes analyses obligatoires, qui étaient effectuées depuis 2004 en laboratoire, qui ces dernières étaient corrélatives à mes divers suivis médicaux de longue durée, qui pour moi n’ont également et sincèrement plus aucuns intérêts aux yeux de ce gros et authentique foutoir médical. De plus, je contribue aux économies de la sécu. Dans une telle situation, il faut dire qu’après réflexion, je me demande encore à quoi peut servir dorénavant un médecin « traitant » ? En effet, quand nous constatons perpétuellement et lors d’une quelconque hospitalisation, que les médecins hospitaliers ne sollicite jamais votre médecin traitant, afin d’obtenir des informations concernant votre dossier médical détenu par ce dernier, sans même également avoir la correction de transmettre dans l’autre sens et donc auprès de votre médecin traitant votre dossier médical hospitalier, sans oublier qu’ils vous refilent lors de votre hospitalisation et sous aucunes informations préalables, de nouvelles substances médicamenteuses, sans pour autant en connaître les éventuelles interactions avec les substances qui vous ont été déjà délivrées auparavant par votre médecin traitant ? On croît rêver ? Encore un exemple en août 2013 : Suite à la chute d’une branche d’arbre, mon épouse se présente d’elle-même à 19h00 et en ma compagnie auprès d’un service d’urgence. Après avoir subi des examens, c'est-à-dire un scanner et un bilan sanguin, elle en est simplement ressortie à 1h00 du matin, avec en main une simple ordonnance pour sa pharmacie, ainsi qu’un document correspondant à l’enregistrement de son entrée et de sa sortie, avec en pas de page une simple mention : (Fracture de l’apophyse d’une vertèbre lombaire) Aucuns clichés du scanner et aucuns résultats sanguins lui ont été remis à sa sortie ? Suite à de vives douleurs et contrainte après 5 jours d’aller rapidement revoir son médecin, ce dernier étant en congé et son remplaçant ne pouvant la recevoir, mon épouse a été dirigée vers une interne qui elle-même était remplaçante d’un autre médecin généraliste situé auprès du même cabinet médical. C’est nouveau… les étudiants en médecine remplacent dorénavant les médecins généralistes. Où va-t-on ??? Bref, sans aucuns résultats en main liés à l’admission de mon épouse aux urgences, cette interne (généraliste) découvre que mon épouse avait de plus et à priori une côte fracturée. Au vu d’un tel carnaval, je décide de demander fermement auprès du directeur de l’hôpital, que le dossier complet corrélatif à l’admission de mon épouse aux urgences lui soit immédiatement transmis, dossier que nous avons certes reçu sous un délai de cinq jours. A réception de ce dossier, mon épouse relève sur son bilan sanguin, que 7 anomalies biologiques avaient été constatées. Mieux encore ce bilan comporté dans son dernier paragraphe une mention, à savoir qu’il manquait un « 2ème tube » ? Mention indiquée : (absence d’un 2 ème tube EDTA ?) Où est t-il passé ce tube, grande question ? Si je n’avais donc pas demandé ce dossier, mon épouse ainsi que son médecin référent, n’auraient jamais pris connaissance de toutes ces anomalies ! Sur ce fait, mon épouse décide de revoir son réel médecin traitant, qui lui propose de passer une simple radio du gril costal gauche, qui a confirmé en effet une fracture bien visible de la 12 ème côte, pourtant non détectée par le service d’imagerie médicale lors de son admission aux urgences. Absolument FABULEUX ??? • Quand nous constatons également qu’en imagerie médicale, vos anciens clichés radiographiques ne sont jamais pris en compte ? Dans mon cas personnel, on m’a sollicité par exemple de faire une radio pulmonaire alors que je détenais en main de anciens clichés du même type, datés seulement pour ces derniers d’une semaine et demie ? Je ne compte pas les bilans sanguins réalisés en milieu hospitalier, pour lesquels nous n’obtenons jamais un quelconque résultat et ce, afin de les transmettre à qui de droit ? Vive le business ! Après quoi, les caisses d’assurance maladie nous enfument, afin que notre « suivi médical » soit parfaitement… réalisé ??? • De même si vous avez un problème de santé à votre domicile, qui donc vous oblige à rester sur place et qui nécessite la présence d’un médecin, vous devez n’est-ce pas ainsi que parfois votre entourage, attendre le bon vouloir de ce médecin une bonne partie de la journée, si ce n’est deux jours ? OUI mesdames, mesdemoiselles et messieurs, j’ai du attendre deux jours, afin que le médecin traitant d’une personne âgée dont nous nous occupons avec mon épouse, intervienne à son domicile après notre appel. C’est aussi cela la vérité médicale ! Bref pour en finir : On vous bassine à longueur d’années, afin que vous puissiez bénéficier d’un « parcours de soins coordonné », et que ce dernier soit réalisé uniquement via un médecin référent. Encore faut-il avoir la chance d’obtenir un médecin référent DIGNE de ce NOM ? Vous en conviendrez que tout cela n’est maintenant et pour moi, que de la PURE FOUTAISE ! En conclusion de ce chapitre et au vu d’un tel « suivi médical abject », suivi correspondant plutôt à un gros foutoir médicalement infâme, la meilleure des solutions pour obtenir la présence d’un médecin à vos côtés, est de vous faire directement transporter par un tiers aux urgences, où la plupart du temps vous risquez encore d’attendre des heures dans un vulgaire couloir sous aucune intimité et ce, malgré la charte du patient, où on viendra encore vous dire avec arrogance, que vous auriez dû vous adresser d’abords auprès de votre médecin traitant, car par votre attitude vous avez engorgé le service des urgences, et encore vous n’êtes pas à l’abri de faire l’objet d’actes, tel que je l’ai vécu en salle de réveil…. Dans le cas qui est dorénavant le mien c'est-à-dire en absence de médecin référent, on vous jettera encore dehors pour ne pas avoir respecté le parcours de soins imposé par toutes ces caisses d’assurances maladie et ce, sans pour autant obtenir un quelconque résultat de vos examens, car ce qui compte aujourd’hui, c’est de faire d’abords et au maximum du fric avec nos cartes vitales ? Maintenant si à votre domicile votre état de santé ne vous permets plus de bouger, il vous reste ses pauvres pompiers qui eux-mêmes dénoncent dorénavant certaines de leurs conditions de travail. C’est peut-être et encore éventuellement la seule garantie à peu près correcte d’être pris en charge à son domicile du moins rapidement et ce, sans qu’un médecin de garde ai été appelé auparavant, car pour ma part et pour avoir été par ces derniers tant ignoré, ils ont interdiction formelle de pénétrer dans mon domicile. 6 – 10 … C’est pour moi également, d’obtenir enfin la garantie de pouvoir surtout choisir ma prise en charge, ainsi que l’établissement de santé où je doit être éventuellement évacué et ce, en vertu des textes en vigueur relatifs aux droits du patient, c'est-à-dire ceux corrélatifs au libre choix de mes praticiens. En déplaise à quiconque ! Voici donc une situation pleinement scandaleuse que je désapprouve fermement, mais au point où j’en suis dorénavant arrivé, cela n’a plus grande importance pour moi, car cela conforte une fois de plus mes réelles certitudes que j’ai et que j’avais depuis fort longtemps envers ce corps médical, qui ce dernier profite de la vulnérabilité des gens au moment même de leur souffrances, afin d’en faire qu’à sa tête, mais en ce qui me concerne, cela en sera désormais autrement ! Je ne compte pas non plus et suite à divers accidents vasculaires, cancer, etc., en étant arrivé à mes 57 ans et malheureusement à ma 19ème hospitalisation plus ou moins de petites ou moyennes durées, toutes les atteintes pitoyables corrélatives au respect du patient dans ses droits fondamentaux liés à son hospitalisation et ce, en vertu de la chartre du patient et des textes en vigueur, à savoir, le non respect manifeste de sa dignité, de son intimité, de sa pudeur, etc…, situations que j’ai très bien vécu en milieu hospitalier, respect de nos jours de plus en plus bafoué et de même totalement ignoré et ce, pour satisfaire de meilleures conditions de travail pour ce pauvre petit corps médical tant à plaindre ? Pleinement écoeuré et marre d’avoir à faire à des tocards d’excellence, j’ai donc pris la décision de détruire à mon domicile, par incinération et devant témoins, ce qui suit : * Toutes mes attestations administratives et divers documents liés aux organismes suivants : CPAM, RSI, RAM, etc… * Tous mes dossiers médicaux établis depuis 1985, compte-rendu, bilans, radios, analyses, contrôles INR, suivis aléatoires, etc… * En guise de vives protestations, toutes mes cartes, c’est-à-dire Vitale, labo, etc., qui ces dernières ont été découpées par mes propres soins et renvoyées par courrier postal à leur organisme respectif, afin de démontrer une bonne fois pour toute ma totale répugnance envers ce corps médical abject, qui pour ma part n’a plus lieu d’être sous de telles considérations déplorables. J’ai également réclamé et en vertu de mes droits fondamentaux en la matière, l’effacement total et informatisé de tous mes dossiers médicaux hospitaliers considérés pour ma part et à ce jour, comme totalement erronés. L’ensemble de mes demandes m’a été donc certifié officiellement par courriers postaux. Par conséquent et à ce jour, plus aucuns médecins ou membre du corps médical, ne peuvent se prévaloir de mes anciens dossiers médicaux dans le cas où ces derniers seraient encore à leur disposition quelque part et ce, pour quelques soins que ce soit sur ma personne, sous peine de se voir poursuivis pour atteinte à mon intégrité physique ! Voici en effet et depuis de nombreuses années, que je suis sujet à diverses pathologies plus ou moins importantes, sans qu’aucunes prises en charge aient été au moins réalisées correctement, et surtout dans le respect de la dignité du patient. En dehors de ce médecin urgentiste, qui a eu et pour une fois la volonté de reconnaître par courrier une prise en charge cardiologique non optimisée et ce, dans son propre service, je n’ai reçu simplement, par correction et de la part du corps médical, aucune explications, de même la moindre excuse de qui que ce soit ? Ce qui prouve bien le mépris intégral dont nous faisons l’objet, nous patients que nous devenons tous contre notre gré, un jour ou l’autre ???? Victime donc de deux accidents vasculaires cérébraux très sérieux en 2004 et 2005 qui m’on laissés fort heureusement aucunes séquelles importantes, et de divers cancers de la peau dans la période de 2010 à 2012, dont un en particulier a été traité de justesse, par curiethérapie et sur ma propre initiative, car pour mon médecin traitant de l’époque ce n’était qu’une simple égratignure superficielle mal soignée, ce cancer restait encore et à ce jour sous surveillance dans le cadre d’une éventuelle récidive. Croyez moi, que je n’ai maintenant et sincèrement que faire de connaître dorénavant l’évolution de cette pathologie, au vu d’une telle ethnomusicologie médicale, méprisante et archi vécue. Dans l’attente et c’est sans aucun doute le plus important, ont continuent à envoyer de gros moyens à l’étranger, où l’on attribut aux frais du contribuable, en toute urgence et par avion, d’énormes moyens médicaux pour soigner des individus qui se foutent sur la gueule au titre de la religion ou autres, et j’en passe….. ? * Quand je constate que la sécurité sociale en faillite continue de payer à l'étranger, sans le moindre contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires disparus depuis des lustres ? * Quand je constate que l'Aide Médicale d'Etat soigne 220000 sans papiers chaque année, à raison de 3500 euros par patients, alors que la sécurité sociale ne dépense « que » 1600 euros par affilié qui de plus travaille et cotise ? * Quand je constate que des étrangers bénéficient de la CMU et d'une mutuelle gratuite, alors que 5 millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop riches pour bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une. Pendant ce temps, 40% des Français diffèrent leurs soins en 2013 ! * Quand je constate qu’environ 10 millions de fausses cartes Vitale sont en circulation et permettent de soigner des milliers d'étrangers sous une fausse identité, au détriment des ayant droit ? Haaa…, il est vrai que dans ce pays nous appelons cela de la « justice sociale » ? Dans l’attente, nous sommes pour nous placés dans l’obligation de remplir des formulaires à tout va, faire des économies, de consommer 4000 médicaments fictifs, dangereux et de même mortels, sans compter ces médicaments dits « génériques » et fabriqués en chine à hauteur de 90%, réduire nos consultations spécialisées, accepté des rendez vous médicaux sous un délai d’un ou plusieurs mois, parfois sur une année, être considérés comme de simples morceaux de viande, qui ces derniers rapportent avant tout, de l’oseille sans limites à ce milieu médical plus ou moins mafieux, etc…, Je ne compte pas non plus, ces milliers de sans papiers qui résident illégalement sur notre territoire et qui bénéficient de l’Aide Médicale de l’Etat (AME), et qui parfois et de plus, manifestent leur mécontentement et à qui, l’on ne demande aucunes paperasses, mais qui dans l’attente obtiennent un accès immédiat aux soins ? Bien entendu, je conçois qu’une personne humaine sans papiers doit être impérativement soignée dans le cas d’une réelle urgence, bien entendu il faut resté humain et je le suis parfaitement, mais en la matière, je ne peux continuer en dehors de l’urgence, à accepter un tel mépris et autant d'outrance, pour ceux qui cotisent ! Comme j’ai lu aussi dans la presse, qu’une polémique avait éclaté au sujet de nombreux patients qui se sont révoltés au sujet des blouses d’hôpital ouvertes dans le dos, ce qui expose en permanence notre cul y compris le reste…, aux personnels soignants et autres regards indiscrets ? Une infirmière répond à cette polémique, je cite : Elle se dit choquée par la pétition « anti fesses à l’air » des patients hospitalisés et elle précise, qu’il y a des choses plus graves à traitée. (fin de citation) 7 – 10 … Certes il y a des choses plus importantes, mais j’ai hâte de voir un jour cette « infirmière », prononcer de tels propos, quand elle sera elle-même sur un brancard, son cul à l’air ainsi que le reste et ce, devant tant de regards indiscrets, ainsi éventuellement que devant ses supérieurs et propres collègues… ? Croyez moi que cela ferai du bien à certains ou à certaines et ce, au vu du manque de respect qu’ils attestent au sujet de la pudeur des patients, d’êtres eux-mêmes exposés totalement dénudés devant une flopée d’inconnus et à tous regards indélicats. Quand je constate aussi, qu’un soignant qui se trouve par hasard dans l’obligation de réaliser la toilette intime d’un de ses proches hospitalisés, dans un tel cas une solution est très vite trouvée…. On appelle un ou une collègue afin de se faire remplacer ! Le patient lui n’a jamais le choix, si vous demandez que votre toilette soit réalisée par la personne de votre choix, ont vous répond que par manque de personnel il n’y a aucune autre solution ? Tiens donc ?????? Sans compter que l’on rentre dans votre chambre sans frapper ou sans attendre que le patient donne l’autorisation de rentrer, que l’on ressorte en laissant votre porte ouverte à tous regards et aux bruits de couloirs ambiants de nuit comme de jour. Sans compter aussi, que l’on vous allume sans aucuns intérêts et brusquement, l’éclairage de votre chambre en pleine nuit et ce, pendant votre sommeil, qu’aucun dispositif de séparation n’est installé entre vous et votre compagnon de chambre lors de soins touchants directement votre intimité corporelle. Ne parlons pas des autres locaux, couloirs, etc… Bref, un vrai désastre pour le respect de la pudeur et la dignité des patients ? * Depuis quand, les personnels soignants font aussi sortir de votre chambre votre épouse ou votre époux pour réaliser les soins vous concernant, alors qu’à vos côtés se trouve un autre patient, qui n’est pour vous et votre entourage qu’un inconnu, qui pour ce dernier et par enchantement est autorisé pour sa part à contempler à volonté les soins intimes qui vous sont prodigués, car dans 95 % des cas, aucune séparation n’est installée entre les deux patients pour le respect minimum de leur intimité corporelle? * Depuis quand également et pour simplement intervenir sur une blessure bénigne comme un doigt entaillé qui nécessitait uniquement 7 points de sutures, on vous demande de vous dénuder totalement afin que votre toilette soit réalisée par un soignant et par la suite enfiler une blouse, enfin plutôt un chiffon ouvert de tous les côtés ??? C’est aussi et pour ma part mon réel vécu, mais en ce qui me concerne, ce voyeurisme érotique avéré, est resté et restera perpétuellement sur sa faim ! Après quoi, les soignants se plaignent éternellement que des violences interviennent à l’hôpital ? Que ces soignants se posent d’abords quelques questions pour en connaître parfois certaines et réelles raisons, avant donc de brailler envers et contre les patients dits « violents » ! Pour ma part, bien loin d’être un homme violent car cela n’apporte aucune solution, mais très déterminé à me faire respecter, avis donc à ceux qui oseront à l’avenir se comporter de cette manière envers ma personne, ou faire sortir mon épouse de ma chambre, qui pour cette dernière est un espace considéré par les textes en vigueur, comme un lieu privé ! C’est en effet mon vécu absolu à chacune de mes hospitalisations, et c’est malheureusement récurent et de pire en pire ? Après quoi, ont vient vous placarder derrière la porte de votre chambre une belle affiche qui s‘intitule la « CHARTRE DU PATIENT » A la lire et face à mon vécu, c’est vraiment de la pure foutaise ? En ce qui me concerne, cette doctrine ainsi imposée face à ceux qui souffrent, sera dorénavant exclue avec fermeté ! Après tout et nous le savons tous, à en voir les nombreuses séries télévisées « urgences, Cie et conneries… », qui en témoignent comme par hasard la réalité…, il n’y a pas plus « cinématographique » et de même à la limite du porno, qu’un établissement hospitalier ! Croyez moi, j’ai hâte un jour d’avoir au moins le plaisir de voir ce corps médical se trouver de l’autre côté de la barrière en tant que « patient », pour se faire décrasser le cul sur un lit d’hôpital et ce, devant une flopée d’inconnus ou par leurs propres collaborateurs. Croyez moi, que je rêve de voir leurs physionomies lors d’un tel épisode ! A la lecture donc de cette presse relative à la blouse d’hôpital, me voici donc une fois de plus témoin de cette arrogance manifeste, que nous constatons en permanence en tant que patients et émanant de ce corps médical, sous le seul prétexte que ce dernier « nous soigne », nous « sauve la vie », etc., etc… Qui sont-ils pour se la péter ainsi, surtout et de plus au vu de l’argent des contribuables qu’ils perçoivent la plupart du temps sans aucuns contrôles ? Il est véridique, que le corps médical se considère toujours comme le plus beau, le plus fort, sans compter qu’il se considère également sous tant de prétextes, intouchable, comme nous devons et sans pouvoir donner un quelconque avis continuer à fermer notre gueule et montrer notre cul et le reste à tout inconnu ? Pour ma part, cela en sera dorénavant autrement, y compris pour mes proches ! Encore faut-il, que l’on puisse constater sous un état d’inconscience, sous quelles conditions notre dignité, notre intimité, ainsi que notre pudeur est également respectée ? A l’heure ou nous sommes en permanence filmés dans nos rues et ailleurs, nous devrions exiger que chaque bloc opératoire soit muni d’un dispositif vidéo, afin d’enregistrer toute la dur
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